من أرشيف جمعية أصدقاء الروينة
دوبة بوعلام 2003
Sainte monique; appelée de nos jours Cheikh Benyahia, elle doit son nom à l’Agha Cheikh Benyahia un marabout de l’époque de l’Emir Abdelkader.
Ce saint avait sous sa responsabilité une tribu de soldats qui s’occupait de la surveillance da la région sud cependant l’Agha Abdeslam s’occupait de celle du nord.
Sainte monique est devenue maintenant une ville qui compte plusieurs milliers d’habitants, ses citoyens ont connu une rude épreuve dans leurs histoires, une épreuve dans leur foi. Suite aux diverses demandes, notre enquête à aboutit chez Monsieur Bouadjina Djillali, doyen de cette ville et de son école car il se rappelle comme si cela date de maintenant comme si le temps s’est arrêté pour lui pour voir naissance de cette ville.
Monsieur Bouadjina affirme que l’école a ouvert ses portes en 1911 et que le mérite revient surtout a Mme Kouider qui s’est donné à fond ( comme l’indiquent les archives de l’école) pour mettre sur pieds une école et une église qui seront la première pierre d’une nouvelle ville qui abrite actuellement plusieurs milliers d’habitants et qui jadis ne comptait que 12 familles de cultivateurs Français et Algériens (1939) .
L’école ou Mme Kouider exerçait la fonction d’institutrice s’appelait école publique mixte de sainte monique ,
les Algériens l’appelait l’école du premier étage , cette école a vu sortir de ses salles des ingénieurs, des docteurs etc… mais l’insécurité des dernières années en Algérie a fait que cette école a été transformée en camp de garde communale.
Nous pouvons voir aussi aux archives les premiers inventaires du matériel de l’école;
que Mme Kouider a pris en charge; écrits a la main ( ce qui prouve que ça s’est déroulé bien avant l’introduction de la dactylographie) la signature de Mme Kouider ainsi que l’adjoint maire des Attafs.
Bonjour
Madame Kouider était ma grand-tante (la soeur de ma grand mere) je m’appelle Eric Bardin
merci de prendre contact avec moi
Bien cordialement
Mar 16 juin 2015 1:12